An assessment of government policy response to HIV/AIDS in Ghana

SAHARA J. 2006 Aug;3(2):457-65. doi: 10.1080/17290376.2006.9724872.

Abstract

The HIV/AIDS epidemic in Africa has assumed a dimension raising heartbreaking anxiety among national governments and civil society groups. In Ghana for example, the pandemic is well-documented and has gone beyond a health problem, and now encompasses all socio-economic aspects of life. The estimated rate of infection from the mid-1980s to 2000 has more than doubled, and in spite of the control efforts by various groups and organisations, prevalence of the disease has not declined notably. This paper assesses government policy, programmes and strategies to combat the disease, using analysis of time trend sentinel data and weighting these against control efforts. The assessment revealed that 380,000 adults and 36,000 children are currently infected. There are wide spatial variations in prevalence across the country and the overall national prevalence has fluctuated over time, standing at 2.6% in 2000, 3.6% in 2002 and 3.1% in 2004. This appears relatively lower than in adjacent countries, where prevalence is around 5% and over 25% in East and Southern African countries. Although the review found a robust multipronged government intervention approach to containing the disease, we are hesitant to claim that the fairly stable or low national prevalence in Ghana compared with its immediate neighbours may have been the consequence of the effectiveness of national AIDS control programmes and impact of government interventions.

L'épidémie du VIH/SIDA en Afrique a pris une dimension qui augmente l'anxiété qui à son tour ronge le coeur parmi les gouvernements nationaux et les groupes de la société civile. Au Ghana, par exemple, la pandémie est bien notée et vue comme étant au-delà du problème de santé, mais actuellement elle englobe tous les aspects socio-économiques de la vie. Le taux prévu de contaminations à partir de la mi-1980 à 2000 a plus que doublé et en dépit des efforts de contrôle par une gamme de groupes et d'organisations, la prédominance de la maladie n'a pas montré de baisse selon le taux de baisse de prédominance en comparaison au poids des efforts de contrôle. Cette étude évalue la politique du gouvernement, des programmes et des stratégies de combattre la maladie. La méthode utilisée pour effectuer cette évaluation compte essentiellement: l'analyse des données sentinelles de tendance de temps et son balancement contre les efforts de contrôle. L'évaluation a dévoilé que 380 000 adultes et 36 000 enfants sont actuellement contaminés et qu'il existe des larges variations spatiales du taux de prédominance à travers le pays et que le total de la prédominance nationale fut fluctuant tout le temps étant 2.6% en 2000, 3.6% en 2002 et 3.1% en 2004. Cela parait relativement bas au Ghana par rapport aux pays voisins où la prédominance est de 5% et plus de 25% dans les pays de l'Afrique de l'Est et de l'Afrique Occidentale.

Même si la revue a connu une intervention robuste à plusieurs pointes de la part du gouvernement et les approches à but de contenir la maladie, nous hésitons de prétendre que le taux de prédominance nationale assez stable ou bas au Ghana vis-à-vis les pays voisins était une conséquence de l'efficacité des programmes de contrôle national du SIDA et l'impact élevé des interventions du gouvernement.

MeSH terms

  • Adolescent
  • Adult
  • Age Distribution
  • Child
  • Child, Preschool
  • Female
  • Ghana / epidemiology
  • HIV Infections / epidemiology*
  • HIV Infections / prevention & control*
  • HIV Infections / transmission
  • Health Policy*
  • Humans
  • Infant
  • Infant, Newborn
  • Male
  • Middle Aged
  • Prevalence
  • Sex Distribution