The primary objectives of this study were to determine the seroprevalence of West Nile virus (WNV) infection of horses in Saskatchewan in 2003 and to identify risk factors for the infection. Blood samples were collected in August and October from 212 horses in 20 herds in 5 geographic zones. After accounting for within-herd clustering, the proportion of horses that had been infected with WNV, as determined by IgG and IgM antibody response, was 55.7% (95% confidence interval, 44.9% to 65.8%). The proportion of antibody-positive horses differed among herds (0% to 100%) and across ecoregions (20% to 76%). Horses in southern ecoregions were more likely to have either IgM antibodies or IgG concentrations suggesting infection than were horses in northern ecoregions. The use of mosquito-control measures was associated with decreased risk. After accounting for ecoregion, there was no difference between recipients of an inactivated WNV vaccine and nonrecipients in the occurrence of antibodies reflecting natural infection.
Les objectifs principaux de cette étude étaient de déterminer la séroprévalence de l’infection par le virus du Nil occidental (WNV) en 2003 chez les chevaux de la Saskatchewan et d’identifier les facteurs de risque pour cette infection. Les échantillons de sang ont été prélevés en août et en octobre sur 212 chevaux dans 20 troupeaux dans 5 zones géographiques. Après avoir pris en considération le regroupement intra-troupeau, la proportion de chevaux qui avaient été infectés par le WNV, tel que déterminée par la réponse humorale en IgG et IgM, était de 55,7 % (intervalle de confiance 95 %, 44,9 % à 65,8 %). La proportion de chevaux possédant des anticorps différait parmi les troupeaux (0 % à 100 %) et variait entre les régions (20 % à 76 %). Les chevaux provenant des régions du sud étaient plus susceptibles d’avoir des concentrations d’IgM ou d’IgG suggestives d’une infection que les chevaux dans les régions du nord. L’utilisation de méthodes de réduction des moustiques était associée à un risque réduit. Après avoir pris en considération la région, il n’y avait pas de différence entre le receveur d’un vaccin WNV inactivé et un animal non-vaccciné pour ce qui est de l’occurrence d’anticorps démontrant une infection naturelle.
(Traduit par Docteur Serge Messier)