A randomized, controlled trial of the effects of rosiglitazone on adipokines, and inflammatory and fibrinolytic markers in diabetic patients: study design and protocol

Can J Cardiol. 2008 Oct;24(10):e65-9. doi: 10.1016/s0828-282x(08)70685-8.

Abstract

Background: Although rosiglitazone may offer vascular benefits beyond lowering glucose, recently, concern has been raised that this drug may paradoxically increase cardiovascular risk.

Objective: To assess the effects of rosiglitazone compared with standard oral hypoglycemic therapies on adipokines, and inflammatory and fibrinolytic markers in subjects with type 2 diabetes.

Methods: A 12-week, randomized, open-label, parallel-group study will be conducted on 100 type 2 diabetic subjects with suboptimal glycemic control (glycosylated hemoglobin 0.075 or greater) despite management with lifestyle alone (drug-naive) or with monotherapy (either metformin or sulfonylurea). Drug-naive patients will be randomly assigned to receive either rosiglitazone (4 mg/day to 8 mg/day) or metformin (500 mg/day to 2000 mg/day). Patients on pre-existing monotherapy will be randomly assigned to the addition of rosiglitazone (4 mg/day to 8 mg/day), or to either metformin (500 mg/day to 2000 mg/day) or glyburide (5 mg/day to 20 mg/day) (depending on background treatment). The primary end point of the study is the change in adiponectin level (from baseline to 12 weeks) in the rosiglitazone versus metformin or sulfonylurea arms. Secondary end points include changes in leptin, high-sensitivity C-reactive protein, interleukin-6, tumour necrosis factor-alpha, matrix metalloproteinase-9, vascular cell adhesion molecule-1, plasminogen activator inhibitor type 1, insulin sensitivity, glycosylated hemoglobin and lipid levels. Additionally, all patients will be required to be treated with an inhibitor of the renin-angiotensin system, namely an angiotensin receptor antagonist, as per national diabetes treatment guidelines, to a target systolic blood pressure of less than 130 mmHg and a diastolic blood pressure of less than 80 mmHg, or for the optimal suppression of microalbuminuria.

HISTORIQUE :: Même si la rosiglitazone peut comporter des bienfaits vasculaires en plus de réduire la glycémie, on s’est récemment inquiété du fait que ce médicament pourrait paradoxalement accroître le risque cardiovasculaire.

OBJECTIF:: Évaluer les effets de la rosiglitazone par rapport à des thérapies hypoglycémiques orales standard sur les adipokines, et les marqueurs inflammatoires et fibrinolytiques chez des personnes atteintes de diabète de type 2.

MÉTHODOLOGIE :: Les auteurs effectueront une étude aléatoire ouverte de 12 semaines auprès de groupes parallèles de 100 diabétiques de type 2 dont le contrôle glycémique est sous-optimal (hémoglobine glycosylée de 0,75 ou plus) malgré une prise en charge par le mode de vie seulement (pas de médicaments) ou par une monothérapie (metformine ou sulfonylurée). Les patients qui ne prenaient pas de médicaments seront répartis au hasard entre un traitement à la rosiglitazone (4 mg/jour à 8 mg/jour) ou à la metformine (500 mg/jour à 2 000 mg/jour). Les patients déjà sous monothérapie seront répartis au hasard entre l’ajout de rosiglitazone (4 mg/jour à 8 mg/jour) ou soit de metformine (500 mg/jour à 2 000 mg/jour), soit de glyburide (5 mg/jour à 20 mg/jour) (selon le traitement de fond). Le point de virage primaire de l’étude correspond au changement du taux d’adiponectine (du début jusqu’à 12 semaines) dans les branches de rosiglitazone par rapport à celles de metformine ou de sylfonurée. Les points de virage secondaires incluent des changements aux taux de leptine, de protéine C réactive de haute sensibilité, d’interleukine-6, de facteur de nécrose tumorale alpha, de matrice métalloprotéinase-9, des molécules d’adhésion des cellules vasculaires 1, de l’inhibiteur de l’activateur du plastimogène de type 1, de la sensibilité à l’insuline, de hémoglobine glycosylée et de lipides. De plus, tous les patients devront recevoir un inhibiteur du système rénine-angiotensine, soit un antagoniste des récepteurs de l’angiotensine, conformément aux lignes directrices nationales sur le traitement du diabète, afin de cibler une tension systolique inférieure à 130 mmHg et une tension diastolique inférieure à 80 mmHg, ou d’assurer la suppression optimale des microalbuminuries.

CONCLUSION :: La présente étude permettra de mieux comprendre les effets métaboliques et cardiovasculaires bénéfiques potentiels de la rosiglitazone chez des patients diabétiques profitant d’un traitement optimal.

Publication types

  • Comparative Study
  • Randomized Controlled Trial
  • Research Support, Non-U.S. Gov't

MeSH terms

  • Adipokines / blood*
  • Adult
  • Aged
  • Aged, 80 and over
  • Biomarkers / blood
  • Blood Glucose / metabolism
  • C-Reactive Protein / metabolism*
  • Cytokines / blood*
  • Diabetes Mellitus, Type 2 / blood
  • Diabetes Mellitus, Type 2 / drug therapy*
  • Dose-Response Relationship, Drug
  • Female
  • Fibrinolysis / drug effects*
  • Follow-Up Studies
  • Humans
  • Hypoglycemic Agents / administration & dosage
  • Hypoglycemic Agents / therapeutic use
  • Inflammation / blood*
  • Male
  • Metformin / administration & dosage
  • Metformin / therapeutic use
  • Middle Aged
  • Rosiglitazone
  • Sulfonylurea Compounds / administration & dosage
  • Sulfonylurea Compounds / therapeutic use
  • Thiazolidinediones / administration & dosage
  • Thiazolidinediones / therapeutic use*
  • Treatment Outcome
  • Vasodilator Agents

Substances

  • Adipokines
  • Biomarkers
  • Blood Glucose
  • Cytokines
  • Hypoglycemic Agents
  • Sulfonylurea Compounds
  • Thiazolidinediones
  • Vasodilator Agents
  • Rosiglitazone
  • C-Reactive Protein
  • Metformin