Parent-adolescent communication in foster, inter-country adoptive, and biological Italian families: Gender and generational differences

Int J Psychol. 2007 Feb;42(1):36-45. doi: 10.1080/00207590500412128.

Abstract

There is a paucity of studies aimed at comparing how parents and children in different family structures cope with the challenges posed by the adolescence transition; in particular, there are few studies aimed at comparing adoptive and foster families. In order to partially fill this gap, the principal aims of the present study were to verify whether there are differences in parent-child communication among foster, intercountry adoptive, and biological families according to the adolescents' gender, and to compare the perceptions of parents and adolescents concerning parent-child communication. Data were elaborated on two levels: a generational level (adolescent's and his/her parents' perceptions among the three family groups) and a dyadic level (mother-child and father-child perceptions). The sample was composed of 276 Italian families with adolescents aged between 11 and 17 (81 foster, 98 international adoptive, and 97 biological families). Subjects (mothers, fathers, and children) filled out a questionnaire including the Parent-Adolescent Communication Scale (Barnes & Olson, 1985 ). Results highlighted that in foster families, parent-child communication showed more difficulties from both the adolescent's and the parents' point of view. Adoptive adolescents, however, reported a more positive communication with both their parents than did their peers living in biological and foster families. At a dyadic level, some differences emerged among the three groups. In biological families, a more pronounced distance emerged between parents and children. In adoptive families, father and adolescent shared more similar perceptions, whereas a significant discrepancy emerged between mother and child. A higher level of perceptual congruence between adolescents and parents was found in foster families. Gender differences were also seen: Mothers experienced a more open communication with their children than did fathers, and adolescents, and above all females, communicated better with their mothers than with their fathers in all three family groups. Il existe peu d'études qui visent à comparer comment les parents et les enfants, dans différentes structures familiales, composent avec les défis amenés par la transition à l'adolescence; en particulier, il existe peu d'études qui visent à comparer les familles adoptives et les familles d'accueil. Dans le but de combler en partie cette lacune, les principaux buts de la présente étude étaient de vérifier s'il existe des différences dans la communication parent-enfant entre les familles d'accueil, les familles adoptives (adoption entre pays) et les familles biologiques en fonction du sexe des adolescents et de comparer les perceptions des parents et des adolescents au sujet de la communication parent-enfant. Les données ont été élaborées à deux niveaux: un niveau générationnel (les perceptions de l'adolescent et de son parent parmi les trois groupes familiaux) et un niveau dyadique (perceptions mère-enfant et père-enfant). L'échantillon était composé de 276 familles italiennes avec adolescents entre 11 et 17 ans (81 familles d'accueil, 98 familles adoptives internationales et 97 familles biologiques). Les participants (mères, pères et enfants) ont complété un questionnaire incluant le «Parent-Adolescent Communication Scale (Barnes & Olson, 1985 ). Les résultats ont souligné que, dans les familles d'accueil, la communication parent-enfant a montré plus de difficultés à la fois du point de vue de l'adolescent et du point du parent. Cependant, les adolescents adoptifs ont évalué leur communication avec leurs mères et pères comme étant plus positive en comparaison à leurs pairs vivant dans des familles d'accueil et dans des familles biologiques. A un niveau dyadique, quelques différences ont émergé entre les trois groupes. Dans les familles biologiques, une distance plus prononcée a émergé entre les parents et les enfants. Dans les familles adoptives, le père et l'adolescent partageaient des perceptions similaires, tandis qu'une différence significative a émergé entre la mère et l'enfant. Un plus grand niveau de congruence perceptuelle entre les adolescents et les parents a été trouvé dans les familles d'accueil. Des différences entre les sexes ont aussi apparu: en comparaison aux pères, les mères ont expérimenté une communication plus ouverte avec leurs enfants et les adolescents, surtout les filles, communiquaient mieux avec leurs mères qu'avec leurs pères dans les trois groupes familiaux. Son escasos los estudios que se han propuesto comparar cómo los padres e hijos pertenecientes a diferentes estructuras familiares afrontan los retos que impone la transición a la adolescencia; en particular, pocos estudios comparan las familias adoptivas y las que ejercen el cuidado temporal. Para subsanar parcialmente esta deficiencia, los propósitos principales de el presente estudio fueron verificar si difiere la comunicación padres-hijos entre familias que ejercen cuidado temporal, aquéllas adoptivas entre países, y biológicas de acuerdo con el sexo del adolescente, y comparar las percepciones de los padres y de los adolescentes en cuanto a la comunicación padres-hijo. Los datos se analizaron en dos niveles: un nivel de generaciones (las percepciones del adolescente y de sus padres entre los tres grupos de familias) y un nivel de díadas (las percepciones madre-hijo y padre-hijo). Doscientas setenta y seis familias italianas con adolescentes entre 11 y 17 años de edad (81 familias de cuidado temporal, 98 adoptivas internacionalmente y 97 biológicas) constituyeron la muestra. Los participantes (madres, padres e hijos) respondieron a un cuestionario que incluía la Escala de Comunicación Padre-Adolescente (Barnes & Olson, 1985 ). Los resultados resaltan más dificultades en la comunicación padres-hijo en las familias que ejercen cuidado temporal, tanto desde la perspectiva del adolescente como de los padres. En tanto que los adolescentes adoptados perciben una comunicación más positiva que la de sus compañeros que viven en familias biológicas y de cuidado temporal. En el nivel de díadas, surgieron algunas diferencias entre los tres grupos. En las familias biológicas, se observó una distancia más pronunciada entre padres e hijos. En las familias adoptivas, el padre y el adolescente comparten percepciones más similares, mientras que discrepan significativamente madre e hijo. Se encontró un nivel mayor de congruencia perceptual entre los adolescentes y sus padres en las familias de cuidado temporal. En cuanto a diferencias de género, las madres experimentan una comunicación más abierta con sus hijos en comparación con los padres, y los adolescentes, sobretodo las mujeres, se comunican mejor con sus madres que con sus padres en los tres grupos de familias.