In vitro inhibitory effects of plant-derived by-products against Cryptosporidium parvum

Parasite. 2016:23:41. doi: 10.1051/parasite/2016050. Epub 2016 Sep 14.

Abstract

Disposal of organic plant wastes and by-products from the food or pharmaceutical industries usually involves high costs. In the present study, 42 samples derived from such by-products were screened in vitro against Cryptosporidium parvum, a protozoan parasite that may contaminate drinking water and cause diarrhoea. The novel bioassay was previously established in the microtitre plate format. Human ileocaecal adenocarcinoma (HCT-8) cell cultures were seeded with C. parvum oocysts and parasite development was monitored by an indirect fluorescent antibody technique (IFAT) and microscopic assessment for clusters of secondary infection (CSI). Minimum inhibitory concentrations (MICs) and potential detrimental effects on the host cells were determined. An ethanolic extract from olive (Olea europaea) pomace, after oil pressing and phenol recovery, reproducibly inhibited C. parvum development (MIC = 250-500 μg mL(-1), IC50 = 361 (279-438) μg mL(-1), IC90 = 467 (398-615) μg mL(-1)). Accordingly, tyrosol, hydroxytyrosol, trans-coniferyl alcohol and oleuropein were selected as reference test compounds, but their contributions to the observed activity of the olive pomace extract were insignificant. The established test system proved to be a fast and efficient assay for identifying anti-cryptosporidial activities in biological waste material and comparison with selected reference compounds.

L’élimination des déchets végétaux organiques et des sous-produits des industries alimentaires ou pharmaceutiques invoque généralement des coûts élevés. Dans la présente étude, 42 échantillons dérivés de ces sous-produits ont été testés in vitro contre Cryptosporidium parvum, un protozoaire parasite provoquant des contaminations de l’eau potable et des diarrhées. Le bioessai nouveau a été établi précédemment sous la forme de plaques de microtitrage. Des cultures de cellules humaines d’adénocarcinome iléocæcal (HCT-8) ont été ensemencées avec des oocystes de C. parvum et le développement du parasite a été suivi par technique d’immunofluorescence indirecte (IFAT) et évaluation microscopique pour les foyers d’infection secondaire (CSI). Les concentrations minimales inhibitrices (CMI) et les effets néfastes potentiels sur les cellules hôtes ont été déterminés. Un extrait éthanolique de grignons d’olives (Olea europaea), après extraction de l’huile et récupération du phénol, a inhibé de manière reproductible le développement de C. parvum (CMI = 250–500 μg mL−1, IC50 = 361 (279–438) μg mL−1, IC90 = 467 (398–615) μg mL−1). En conséquence, le tyrosol, l’hydroxytyrosol, l’alcool trans-coniféryl et l’oleuropéine ont été choisis comme composés pour des essais de référence, mais leurs contributions à l’activité observée de l’extrait de grignons d’olive étaient insignifiantes. Le système de test établi a prouvé qu’il était rapide et efficace pour identifier les activités anticryptosporidiales dans du matériel issu de déchets biologiques et pour des comparaisons avec des composés de référence sélectionnés.

MeSH terms

  • Adenocarcinoma / pathology
  • Biological Assay
  • Cryptosporidium parvum / drug effects*
  • Drug Industry
  • Food Industry
  • Humans
  • Ileal Neoplasms / pathology
  • Ileocecal Valve / pathology
  • Medical Waste Disposal / methods*
  • Medical Waste Disposal / standards
  • Olea / chemistry*
  • Phytochemicals / pharmacology*
  • Plant Extracts / pharmacology
  • Plants, Medicinal / chemistry
  • Tumor Cells, Cultured

Substances

  • Medical Waste Disposal
  • Phytochemicals
  • Plant Extracts