Background: When possible, a single-stent technique to treat coronary bifurcation disease is preferable. However, when 2 stents are required, there is scope to improve on existing techniques. The crush technique has already been improved with the introduction of double-kissing (DK) and minicrush. We sought to refine and simplify the minicrush technique, retaining its advantages while avoiding its disadvantages, by developing a DK nanocrush technique.
Methods: The DK nanocrush method allows complete lesion coverage of a bifurcation lesion without excessive metal layers. This is achieved by positioning the side branch (SB) stent with minimal protrusion into the main branch (MB), implantation of the SB stent with an undeployed balloon in the MB, immediate kissing-balloon inflation with formation of a minimal neocarina, stenting the MB, recrossing the proximal part of the SB without crossing a double metal layer, and final kissing. We demonstrate this technique with benchtop implantation, microscopic computed tomographic reconstruction, computational fluid dynamics (CFD) modelling, and clinically with the use of angiographic and intravascular imaging.
Results: The DK nanocrush was practically feasible and resulted in full ostial coverage. CFD analysis demonstrated minimally disturbed blood flow. The technique was successfully utilised in 9 patients with bifurcation lesions with excellent angiographic outcomes and no adverse events over 12 months.
Conclusions: The DK nanocrush technique may represent the ultimate refinement of the original crush technique with a number of practical and theoretical advantages. It remains to be tested against other bifurcation techniques in prospective trials.
Introduction: Lorsque possible, la technique de l’endoprothèse unique est préférable pour traiter des lésions de la bifurcation coronaire. Toutefois, lorsque 2 endoprothèses sont nécessaires, il y a moyen d’améliorer les techniques existantes. La technique du crush a déjà connu une amélioration depuis l’introduction du double-kissing (DK) et du minicrush. Nous avons cherché à raffiner et à simplifier la technique du minicrush, tout en maintenant ses avantages et en évitant ses désavantages, par la mise au point d’une technique de DK nanocrush.
Méthodes: La méthode du DK nanocrush permet de complètement couvrir une lésion de bifurcation sans couches métalliques excessives. Pour ce faire, on procède à la mise en place de l’endoprothèse dans la branche latérale (BL) avec une protrusion minimale dans la branche principale (BP), à l’implantation de l’endoprothèse dans la BL à l’aide d’un ballonnet non déployé dans la BP, à l’inflation immédiate du kissing-balloon avec la formation d’une néo-carina minimale, à l’implantation de l’endoprothèse dans la BP, à la traversée à nouveau la partie proximale de la BL sans traverser la couche métallique double, et on termine par le kissing. Nous démontrons cette technique par implantation en banc d’essai, reconstruction par microscope tomographique, modélisation numérique en mécanique des fluides (MNMF), et sur le plan clinique par l’utilisation de l’imagerie angiographique et intravasculaire.
Résultats: Le DK nanocrush a été réalisable sur le plan pratique et a abouti à la couverture complète de l’ostium. L’analyse par MNMF a démontré un débit sanguin minimalement perturbé. La technique qui s’est avérée une réussite chez 9 patients ayant des lésions de bifurcation a mené à d’excellents résultats angiographiques et à l’absence d’événements indésirables durant 12 mois.
Conclusions: En raison de ses nombreux avantages pratiques et théoriques, la technique du DK nanocrush peut représenter le perfectionnement ultime de la technique originale du crush. Il reste à éprouver cette technique par rapport à d’autres techniques de bifurcation lors d’études prospectives.
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