Spinal subarachnoid diverticula are fluid dilations of the subarachnoid space that can cause a compressive myelopathy in dogs. These diverticula are usually associated with high motion areas in the cervical and caudal thoracic spine. The definitive etiopathogenesis has not been determined but likely involves congenital or acquired causes. Pugs, French bulldogs, and Rottweilers are overrepresented breeds. Clinical signs typically include ataxia, paresis, and upper motor neuron urinary and/or fecal incontinence; pain is a less common feature. Diagnosis is based on advanced imaging, with magnetic resonance imaging now being favored given the additional detail of the spinal cord parenchyma that can be obtained. Outcomes are better with surgical intervention than with medical therapies, though there is a lack of long-term data. No superior surgical technique has been identified, and questions remain on the significance of addressing leptomeningeal adhesions at the time of surgery. Clinical signs can recur, though not always due to recurrence of diverticulum formation, and pugs may be less likely to have a successful long-term outcome.
Diverticule subarachnoïdien spinal chez des chiens : une revue. Les diverticules subarachnoïdiens spinaux sont des dilatations liquides de l’espace subarachnoïdien qui peuvent causer une myélopathie compressive chez les chiens. Ces diverticules sont généralement associés à des régions à motion élevée de la colonne vertébrale cervicale et caudale. L’étiopathogénie définitive n’a pas été déterminée mais implique fort probablement des causes congénitales ou acquises. Les carlins, bulldogs français et rottweiler sont des races sur-représentées. Les signes cliniques inclus typiquement de l’ataxie, de la parésie et un neurone moteur supérieur d’incontinence urinaire et/ou fécale; la douleur est une caractéristique moins fréquente. Le diagnostic est basé sur des analyses avancées d’imagerie, avec l’imagerie par résonnance magnétique maintenant favorisée étant donné les détails additionnels du parenchyme de la colonne vertébrale qui peuvent être obtenus. Les résultats sont meilleurs avec l’intervention chirurgicale qu’avec les thérapies médicales, bien qu’il y ait un manque de données à long terme. Aucune technique chirurgicale supérieure n’a été identifiée, et des questions persistent sur l’importance de s’attarder aux adhésions leptoméningées au moment de la chirurgie. Les signes cliniques peuvent réapparaitre, quoique pas toujours à cause de la récurrence de la formation des diverticules, et les carlins pourraient être moins enclin à avoir une issue favorable à long terme.(Traduit par Dr Serge Messier).
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