The first of this pair of articles ends with the observation that -psychiatric liaison activity remains underdeveloped. Moreover, -psychiatric liaison is not based on sound empirical foundations and is not taught, which has had the consequence of putting it out of step with the transformations of medicine and the medical profession. In this second article, we discuss possible evolutions of psychiatric liaison and the role that social sciences can play in them. Both -articles are related to the creation of the first position of Professor in psychiatric liaison by the Faculty of Biology and Medicine of the University of Lausanne and the CHUV, a position held by a researcher from the social sciences.
Le premier de ce couple d’articles se termine sur l’observation que l’activité de liaison psychiatrique reste peu développée. En outre, la liaison psychiatrique ne repose pas sur des fondations empiriques solides et n’est pas enseignée, ce qui a eu pour conséquence de la mettre en décalage avec les transformations de la médecine et du métier de clinicien. Nous discutons dans ce second article des évolutions possibles de la liaison psychiatrique et du rôle que les sciences sociales peuvent y jouer. Les 2 articles sont en lien avec la création du premier poste de professeur en liaison psychiatrique créé par la Faculté de biologie et de médecine de l’université de Lausanne et le CHUV, poste occupé par une chercheuse issue des sciences sociales.