This study compared 18 low-risk drinking guidelines that were gathered from Canadian government agencies, non-government agencies, medical bodies, and public and private agencies involved in the treatment of addictions. The results show that two sets of guidelines are predominantly used in Ontario. The formulation of these guidelines was entirely independent and their intended audiences are also different. However, a direct comparison of the two guidelines shows that differences are more apparent than real. This study also examines the literature evaluating low-risk drinking guidelines Very little literature exists on evaluating low-risk drinking guidelines as vehicles for primary prevention and it is not known to what extent such guidelines influence knowledge and drinking behaviour. Future low-risk drinking recommendations should be evaluated for knowledge about standard drink units, awareness of the guidelines, use of materials and aids included in the dissemination program, and changes in behaviour from campaign exposure.
La présente étude comparative se penche sur 18 directives de consommation d’alcool à faible risque recueillies auprès d’organismes gouvernementaux et non-gouvernementaux canadiens, d’organismes de traitement des toxicomanies du secteur public et privé, et des corps médicaux. Les résultats montrent que l’Ontario favorise deux séries de directives. Leur formulation s’est déroulée de façon tout à fait indépendante et leur auditoire cible est également différent. Toutefois, après comparaison directe de ces deux séries de directives, on s’aperçoit que les différences ne sont apparentes qu’en surface. La présente étude se penche également sur la documentation évaluant les directives de consummation d’alcool à faible risque. Il existe très peu de documentation sur l’évaluation de ces directives comme mesure de prévention primaire. Nous ignorons également jusqu’à quel point ces directives influent sur les connaissances des buveurs et sur leurs comportements à l’égard de l’alcool. Les prochaines recommandations en matière de consommation à faible risque devraient faire l’objet d’une évaluation des connaissances des buveurs au sujet des verres standard, de leur sensibilisation à propos des directives de consommation, de l’utilisation du matériel d’accompagnement des programmes de dissémination, et des changements de comportements après exposition à une campagne de sensibilisation.